Je t'aime et qu'Allah me pardonne !
Je me réveille ce matin, n'ayant qu'une pensée de toi heureuse et souriante .Un sourire sur tes lèvres que je devine quand je referme mes yeux, et encore une fois j'ouvre les yeux et je te sens devenir un ombre qui me suit même dans mes prières .T'es présente dans tout ce que je fais.
Je prends ton chemin pour aller à mon travail espérant te croiser, je ne t'es... jamais croisée mais jamais je ne perdrai cet espoir-là.
J'arrive au travail . Mes élèves se penchent pour voir si je suis là ou non .Hélas ! je suis toujours ponctuelle, mais eux aussi ne perdent jamais l'espoir.
Ils ouvrent leurs cahiers de conjugaison. Aujourd'hui c'est le présent de l'indicatif. Je leur demande de conjuguer le verbe entre parenthèses au présent .
--Samira (être) gentille . Les voix des élèves se lèvent: --« Moi maîtresse .Moi maîtresse ». Oui Ali .- « Samira est gentille ». Je lui souris --« Très bien Ali ». Tu vois mon amour, même Ali te trouve gentille.
Je leur demande de faire des phrases avec le même sujet.T'es toujours le sujet de mes pensées et celui des phrases de mes élèves. Les doigts et les voix se relèvent « Moi maîtresse ! Moi maîtresse ! ». -Oui, Amel .--« Samira mange un gâteau. »- Bien .Oui, Amina .-- « Samira mange une banane ». -Bien. ..Sofiane. --« Samira regarde la télévision ». Tu sais mon amour, pour mes élèves tu ne fais que manger les gâteaux. jouer au ballon. Le plus intelligent te laisse regarder la télé ou danser. Pauvre élèves !! Ils ne trouvent que ces verbes pour s'exprimer.
Je les félicite comme même, et j'écris sur tableau :« Samira aime la lecture ». Dans mon esprit je voulais écrire « Samira aime Sabrina »...
Je termine le travail à 15 heures. Et je prends le bus. Sur mon chemin, je pense à notre dernière rencontre. A ton sourire quand je t'ai offert des chocolats pour la Saint Valentin. J'aurais voulu t'offrir mon cœur mais je savais que ce que je ressens ne sera jamais réciproque et que ton cœur ne s'ouvrira jamais à une autre, mais jamais je ne perdrai l'espoir.
Durant tout le trajet je regarde le paysage et je guette ton visage qui se dessine sur chaque relief. Chaque forme géographique prend tes traits. Non je suis pas folle je suis simplement folle de toi, et puis comment ne pas te voir partout alors que tu me hantes même dans mes prières rituelles. Qu'Allah me pardonne.
J'arrive à la maison c'est déjà 17 heures. Je mange et je fais mes prières. Je lève les mains à Allah . Je lui demande pardon de t'avoir aimée . Pardon de ne pas réussir à ne pas être ce que je suis. Je prie pour nous pardonner la vie que nous n'avons pas choisie.
Le soir tombe et ton ombre prend les couleurs du rêve. Je ferme les yeux et là. je te vois apparente, réelle à m'attendre pour continuer le rêve d'hier .Tu vois Sam je vis pour penser à toi, pour parler de toi et pour rêver de toi . Et qu’Allah me pardonne !
M.
Je me réveille ce matin, n'ayant qu'une pensée de toi heureuse et souriante .Un sourire sur tes lèvres que je devine quand je referme mes yeux, et encore une fois j'ouvre les yeux et je te sens devenir un ombre qui me suit même dans mes prières .T'es présente dans tout ce que je fais.
Je prends ton chemin pour aller à mon travail espérant te croiser, je ne t'es... jamais croisée mais jamais je ne perdrai cet espoir-là.
J'arrive au travail . Mes élèves se penchent pour voir si je suis là ou non .Hélas ! je suis toujours ponctuelle, mais eux aussi ne perdent jamais l'espoir.
Ils ouvrent leurs cahiers de conjugaison. Aujourd'hui c'est le présent de l'indicatif. Je leur demande de conjuguer le verbe entre parenthèses au présent .
--Samira (être) gentille . Les voix des élèves se lèvent: --« Moi maîtresse .Moi maîtresse ». Oui Ali .- « Samira est gentille ». Je lui souris --« Très bien Ali ». Tu vois mon amour, même Ali te trouve gentille.
Je leur demande de faire des phrases avec le même sujet.T'es toujours le sujet de mes pensées et celui des phrases de mes élèves. Les doigts et les voix se relèvent « Moi maîtresse ! Moi maîtresse ! ». -Oui, Amel .--« Samira mange un gâteau. »- Bien .Oui, Amina .-- « Samira mange une banane ». -Bien. ..Sofiane. --« Samira regarde la télévision ». Tu sais mon amour, pour mes élèves tu ne fais que manger les gâteaux. jouer au ballon. Le plus intelligent te laisse regarder la télé ou danser. Pauvre élèves !! Ils ne trouvent que ces verbes pour s'exprimer.
Je les félicite comme même, et j'écris sur tableau :« Samira aime la lecture ». Dans mon esprit je voulais écrire « Samira aime Sabrina »...
Je termine le travail à 15 heures. Et je prends le bus. Sur mon chemin, je pense à notre dernière rencontre. A ton sourire quand je t'ai offert des chocolats pour la Saint Valentin. J'aurais voulu t'offrir mon cœur mais je savais que ce que je ressens ne sera jamais réciproque et que ton cœur ne s'ouvrira jamais à une autre, mais jamais je ne perdrai l'espoir.
Durant tout le trajet je regarde le paysage et je guette ton visage qui se dessine sur chaque relief. Chaque forme géographique prend tes traits. Non je suis pas folle je suis simplement folle de toi, et puis comment ne pas te voir partout alors que tu me hantes même dans mes prières rituelles. Qu'Allah me pardonne.
J'arrive à la maison c'est déjà 17 heures. Je mange et je fais mes prières. Je lève les mains à Allah . Je lui demande pardon de t'avoir aimée . Pardon de ne pas réussir à ne pas être ce que je suis. Je prie pour nous pardonner la vie que nous n'avons pas choisie.
Le soir tombe et ton ombre prend les couleurs du rêve. Je ferme les yeux et là. je te vois apparente, réelle à m'attendre pour continuer le rêve d'hier .Tu vois Sam je vis pour penser à toi, pour parler de toi et pour rêver de toi . Et qu’Allah me pardonne !
M.
Trés touchant
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